Ce que vous trouverez dans cet article :
Vous avez remarqué que vos posts LinkedIn étaient moins performants ?
Moins de vues, moins de réactions, des impressions qui diminuent du jour au lendemain… et pendant ce temps-là, vous voyez des profils « vérifiés » qui sortent de nulle part et cartonnent.
Non, ce n’est pas vous le problème.
C’est l’algorithme LinkedIn qui a pris un virage massif. Et si vous ne comprenez pas comment il fonctionne, vous allez avoir l’impression de parler tout seul dans un open space vide.
Mais pas de panique. Arxama a testé, observé, analysé les tendances, décodé les signaux. Et aujourd’hui, on vous propose 7 hacks à connaître pour reprendre la main sur votre visibilité.
Pas de théorie à n’en plus finir. Juste des actions concrètes, signées Max.
Le badge bleu, nouveau passeport de visibilité pour l’algorithme LinkedIn
Avant, c’était un gadget. Aujourd’hui, c’est un sésame algorithmique.
LinkedIn pousse les profils vérifiés parce qu’il veut un réseau plus propre, authentique. Après avoir éliminé plus de 100 millions de faux comptes, la plateforme récompense ceux qui prouvent qu’ils existent vraiment.
Résultat : les comptes vérifiés gagnent en exposition, en crédibilité et en portée.
Le hack de Max : faites vérifier votre profil dès que possible. Pas pour l’ego, mais pour le signal que ça envoie à l’algorithme : “celui-là est fiable, montre-le.”
Dans un océan de faux experts, c’est votre bouée de confiance.
L’IA a pris les commandes du fil d’actualités
Fini le temps où votre réseau voyait systématiquement votre contenu.
Désormais, c’est l’intelligence artificielle de LinkedIn qui choisit si votre post mérite d’apparaître et à qui il doit être montré.
Comment elle décide ?
Elle observe les interactions : le temps passé sur votre post, la qualité des commentaires, les enregistrements, la cohérence avec votre historique.
Le hack de Max : pensez votre contenu comme un produit éditorial, pas comme un post jetable. L’IA privilégie les contenus utiles, clairs et incarnés. Elle détecte les posts “vitrines” écrits à la va-vite et les met sous le tapis.
Votre job : produire de la matière qui fait réfléchir ou réagir, pas juste scroller.
Le contenu vit plus longtemps (et c’est une bénédiction)
Avant, tout se jouait en deux heures.
Aujourd’hui, un bon post peut continuer à tourner pendant 7 à 10 jours.
Pourquoi ? Parce que l’algorithme LinkedIn fonctionne maintenant par phases de validation : il teste votre contenu sur un échantillon, mesure la qualité des échanges, puis élargit la diffusion s’il estime que ça vaut le coup.
Le hack de Max : NE PANIQUEZ PAS si votre post ne décolle pas en dix minutes.
Jouez la stratégie d’endurance : relancez la conversation, répondez aux commentaires, taguez des profils pertinents, reformulez une idée en réponse. Vous prolongez la vie de votre post à chaque interaction sincère.
Le vrai KPI, c’est le « Save »
Bonne nouvelle : les enregistrements (“saves”) sont désormais visibles dans les stats.
Mauvaise nouvelle : la plupart des créateurs ne regardent toujours que les likes.
Erreur fatale.
Parce qu’un “like” flatte votre ego, mais un “save” prouve que vous avez apporté de la valeur durable. C’est le signal le plus fort pour l’algorithme.
Le hack de Max : créez du contenu qu’on a envie de garder.
Des checklists, des mini-guides, des carrousels pratiques, des insights exclusifs.
Le but ? Que votre lecteur se dise “ça, je vais le relire plus tard”.
Si vous devenez une référence utile, LinkedIn vous fera naturellement remonter dans les fils d’actualités.
La visibilité, c’est la loterie
Oui, vous pouvez faire 100 000 vues un jour et 2 000 le lendemain.
Ce n’est pas un bug ou un hasard : c’est une redistribution algorithmique permanente.
L’algo veut éviter les effets de “star-system”. Il privilégie la fraîcheur et la pertinence plutôt que la notoriété brute.
Résultat : même les “gros” créateurs doivent travailler leur fond, et les plus petits ont enfin une vraie chance d’émerger.
Le hack de Max : arrêtez de comparer vos chiffres à ceux des autres.
La seule réelle métrique qui compte, c’est la qualité des interactions : qui vous répond, pourquoi, et sur quoi.
Mieux vaut 20 commentaires pertinents que 200 likes creux !
Les commentaires creux ne servent plus à rien
Les “bravo 👏”, “tellement vrai 🔥” ou “super post 🙌” ?
L’algorithme les a dans le viseur.
Il est capable d’identifier les interactions artificielles ou générées en série (y compris celles produites par IA). Ces signaux sont désormais pondérés à la baisse.
Le hack de Max : commentez avec du fond.
Posez une vraie question, partagez votre expérience, apportez un complément.
Chaque mot que vous écrivez devient une preuve d’intérêt réel. Et plus vous montrez que vous réfléchissez, plus votre profil devient crédible aux yeux de l’algorithme Linkedin.
Les tactiques d’engagement forcé sont repérées
Vous pensiez qu’en rejoignant un “pod” ou en lançant un concours random vous alliez tromper le système ? Mauvaise idée.
LinkedIn a intégré des détecteurs de comportements groupés et d’automatisations suspectes.
Le hack de Max : gardez tout ce que vous faites humain et organique.
Répondez vous-même à vos commentaires. Interagissez avec votre réseau sans robotiser vos réactions.
Le nouvel algorithme LinkedIn récompense la cohérence : il valorise les créateurs réguliers, sincères et constants. Pas les imposteurs à la recherche de raccourcis.
Le verdict de Max : c’est plus dur, mais c’est plus sain
Soyons honnêtes : LinkedIn s’est complexifié.
Mais c’est aussi une bonne nouvelle.
L’époque du “copier-coller de storytelling viral” est derrière nous.
Le réseau valorise enfin les voix uniques, les contenus utiles, les profils incarnés.
En 2025, vous avez deux routes possibles :
- celle de la quantité, dopée à l’IA, rapide, mais creuse ;
- ou celle de la qualité, plus lente, mais mille fois plus solide.
Arxama a choisi son camp : celui de la création qui a du sens, de la personnalité et une vraie stratégie derrière. Parce qu’un bon post, c’est pas celui qui buzz. C’est celui qui construit votre autorité.
Conclusion : faites équipe avec l’algorithme Linkedin, pas la guerre
L’algorithme LinkedIn n’est pas votre ennemi.
C’est un système exigeant, oui, mais prévisible si on comprend sa logique.
En clair, il faut :
- Être régulier, pas robotique.
- Être authentique, pas formaté.
- Et surtout, être utile.
Si vous cochez ces cases, l’algorithme vous servira au lieu de vous censurer.
Et si vous avez besoin de structurer une réelle stratégie de contenu qui colle à ces nouvelles règles, venez en parler avec nous.
Max et l’équipe Arxama vous aideront à bâtir une présence LinkedIn forte, claire et durable, celle qui traverse les mises à jour de l’algorithme sans broncher.
FAQ
Faut-il absolument être vérifié pour performer sur LinkedIn ?
Non, mais c’est un véritable levier de confiance. Le badge bleu envoie un signal positif à l’algorithme et rassure votre audience. Si votre profil n’est pas encore vérifié, compensez par une présence régulière, une photo claire et des publications cohérentes.
L’algorithme pénalise-t-il les contenus générés par l’IA ?
Pas directement. Ce que LinkedIn sanctionne, ce sont les contenus génériques, creux ou artificiels. Si vous utilisez l’IA comme un assistant pour structurer vos idées ou reformuler vos textes, aucun problème ! À condition que votre contenu reste humain, authentique et utile.
Combien de fois par semaine faut-il publier pour rester visible ?
La fréquence idéale se situe entre 2 et 4 publications par semaine. Mieux vaut publier moins souvent mais avec du fond, que d’inonder votre réseau de messages sans valeur. L’algorithme valorise la régularité et la qualité, pas la quantité.
Est-il utile de republier un post qui a bien fonctionné ?
Oui, à condition de le retravailler. Reformulez-le, actualisez les données ou changez le format (carrousel, article, vidéo). L’algorithme détecte les duplications pures, mais il apprécie la réinterprétation d’un contenu pertinent.
Les “pods” d’engagement fonctionnent-ils encore ?
Non. LinkedIn les repère désormais très facilement. Les interactions forcées ou automatisées peuvent même nuire à votre portée. Le seul “pod” efficace, c’est votre véritable réseau : des personnes qui interagissent sincèrement avec votre contenu.